Coordination

Bannière du GRIP‑UQAM. Elle est orange. Les écritures et dessins dessus sont blancs. D’abord, à gauche et en gros se lit “GRIP‑UQAM”, puis en plus petit à droite “Groupe de Recherche d’Intérêt Public de l’UQAM”. Enfin, au bout à droite se trouve le logo du GRIP, sur fond jaune-orange. Le logo montre la silhouette d’un pissenlit en fleur, avec un feuillage garni avec “GRIP” écrit juste en dessous, d’une écriture de type manuscrite.

Logo du GRIP‑UQAM fêtant les 25 ans de l’organisme. Le logo est entièrement blanc. L’écriture est transparente (le fond d’écran est noir). Il s’agit de la silhouette d’un pissenlit en fleur. Ce dernier est planté dans un rond contenant des écritures. Dans le rond se lit “GRIP‑UQAM” au centre et “25 ans” longeant la paroi en bas à droite du cercle. En haut à gauche, à l’extérieur du cercle et en blanc, est écrit “écologie sociale” d’une écriture type manuscrite attachée plutôt ronde. Deux racines dépassent du cercle en bas à gauche et la fleur et une feuille dépassent en haut à droite.Logo du GRIP‑UQAM de forme carrée. Au centre se trouve une silhouette de pissenlit en fleur de couleur vert lime. Au-dessus est du pissenlit est écrit en vert foncé entouré de vert lime: “À la racine des choses” suivi de quatre points de suspension. Des racines de pissenlit sont en arrière-plan de ces mots, dans le coin haut gauche du carré. À droite, écrit à la verticale et en orange se lit l’adresse du site du GRIP, soit “gripuqam.org”. En bas de la fleur, il y a une forme orange presque rectangulaire, comme si elle y était plantée. Il y est écrit “GRIP UQAM” et la tige du pissenlit sort du “i” de GRIP. Tout en bas est écrit en petit “Groupe de Recherche en Intérêt Public de l’UQAM”. L’arrière-plan est transparent (le fond d’écran est noir).Composée de l’équipe des personnes à la co-coordination, du conseil exécutif, du conseil d’administration et des autres personnes qui souhaitent s’y impliquer, la coordination s’occupe des affaires courantes du GRIP, assure une communication avec et entre les comités et organisent des activités d’intérêt général.

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Éducation populaire

Photo en noir et blanc de restes de tiges de pissenlits avec les graines envolées. L’arrière-plan est très lumineux, rendant les pissenlits visibles sous forme de silhouettes noires et un horizon foncé en bas. Le focus est fait sur deux plants de pissenlit au centre avec d’autres plants flous en arrière. Il y aussi un dégradé vers le noir, plus on s’approche du pourtour de l’image.Le comité Éducation populaire organise des « teach-in’s » (journée d’ateliers, podcasts, conférences et discussions) et une banque d’ateliers anticapitalistes pour rassembler et renforcer les différents groupes et mouvement anticapitalistes de Montréal, dans une perspective d’éducation populaire.



Médi@s Libres

Image du site infos.media, écrit en blanc en haut. Plus bas est écrit “Intégrateur de médias indépendants”. L’arrière-plan est majoritairement noir, avec des effets de lumières flous.

Icône de Médias Libres de forme carrée. Le fond est rouge. À l’avant-plan, il y a un porte-voix en blanc avec contours noirs dont sort une bulle de dialogue dans laquelle est écrit “Médi@s Libres” en noir, épelé avec un “a” commercial. Sous le porte-voix est écrit “Collectif médiatique d’autodéfense communicationnelle et d’intervention sociale”.Médias Libres est un collectif de médias alternatifs qui vise à promouvoir des discours médiatiques alternatifs. Nous travaillons tant à la production, qu’à la diffusion de projets médiatiques porteurs d’une perspective originale et critique. Nous oeuvrons également au réseautage des médias indépendants. Notre démarche est inclusive et nous croyons à l’échange de connaissances et à l’horizontalité des rapports interpersonnels.

Icône de Projections Insurgées, de forme ronde. À l’intérieur d’un cercle noir rempli de blanc se trouve un corbeau, aux plumes noir-bleuté avec éclats jaunes sur ses ailes déployées, vêtu d’un habit bleu avec un harnais et muni d’une lampe de projection cinématographique frontale. À l’avant-plan est écrit en rose “P I”.Activités:

  • Projections insurgées! Soirées de diffusion de films radicaux;
  • Développement du portail INFOS.media rassemblant a une seule adresse une constellations de médias d’information indépendants;
  • Fonds discrétionnaire d’aide aux médias indépendants;
  • Productions audiovisuelles, ateliers cinématographiques, ciné-débats et bien plus!


Projet Accompagnement Solidarité Colombie (PASC)

Bannière du PASC. À l’avant-plan est écrit en blanc “Projet Accompagnement Solidarité Colombie”. L’arrière-plan montre un dégradé entre trois images. À gauche se trouve quelqu’un debout pagayant une embarcation avec des contenants bleus. Au centre se trouve une forêt aux arbres épars. À droite se trouve une manifestation du 1er mai avec des gens tenant une pancarte en espagnol dont la majorité est cachée par le mot “Colombie” à l’avant-plan.

Icône du PASC de forme rectangulaire. À l’avant-plan est écrit “PASC” dans une typographie de type dactylo. Au centre en arrière-plan se trouve la silhouette grise du territoire de la Colombie. Celui-ci est entouré d’un cercle, lequel sert de pupille à l’image globale d’œil formée avec les écrits en courbe en haut et en bas. En haut est écrit “Pour la défense de la vie, la dignité et l’autonomie”. En bas est écrit “Projet accompagnement solidarité Colombie”. En arrière-plan, à gauche, se trouve un dessin en silhouette de la face d’une personne avec moustache portant un sombrero, puis, à droite, se trouve un dessin en silhouette d’une personne en robe dansant, une main sur la hanche et l’autre dans les airs.Le Projet Accompagnement Solidarité Colombie (PASC) est un collectif anticolonial et féministe basé au « Québec » qui réalise de l’accompagnement auprès de communautés et organisations colombiennes, tout en dénonçant les intérêts canadiens impliqués dans le conflit social et armé en Colombie. Nous faisons des liens entre des luttes ici et là-bas contre l’imposition de projets d’extraction des ressources.



SOS Territoire

Logo de SOS Territoire: Dessins en blanc sur arrière-plan noir. Un SOS sur des vagues avec la prolongation de la base du premier S vers sa gauche formant une butte d’où jaillissent deux arbres conifères, un plus petit à gauche et un plus grand à droite. Sous l’eau il est écrit “Territoire”. Les deux S de SOS sont plus hauts que le O qui est parfaitement rond.Toile peinte par l’artiste atikamekw Jacques Newashish lors de Mitshetuteuat II pour l’Alliance Mamo. Chi Miigwetch Monsieur Newashish ! La peinture montre trois longues perches en noir attachées ensemble dont la plus haute au centre se termine par un drapeau rouge avec un cercle séparé en quatre couleurs, dans le sens horaire à partir du coin bas droit : rouge, noir, blanc jaune. Derrière les perches il y a trois bandes, une grande bande jaune en haut, puis une bande bleue marqué de traits diagonaux blancs et noirs, puis une mince bande jaune tout en bas avec des silhouettes en noir tout d’abord humaines, soit une petite personne, puis une minuscule personne qui tient la main d’une personne portant une jupe, une autre personne sans jupe, puis deux silhouettes d’animaux se dirigeant vers les personnes, soit un petit mammifère en longueur et plus loin un plus gros quadrupède avec une flèche vers la droite, suivi d’un oiseau plus haut, puis d’une branche avec deux feuilles opposées et une feuille terminale et enfin un cercle entourant un w avec quatre traits s’éloignant. Un demi-cercle bleu ciel traverse le centre de la toile sous les perches en s’ouvrant vers le haut Une bande bleue sous la toile est couverte d’un motif noir à demi-cercle ouvert vers le bas avec un point au centre.SOS Territoire est un comité du GRIP-UQAM et un groupe de recherche et d’action pour la protection du territoire dans une perspective d'écologie sociale en visant un rapprochement entre les autochtones et non-autochtones, notamment à travers l’Alliance Mamo en construction.

L'Alliance Mamo (Mamo veut dire « ensemble » en atikamekw nehiromowin) est un projet porté par SOS Territoire. L'Alliance Mamo se veut un réseau d’action et de communication entre Autochtones et Allochtones pour la défense de la biodiversité et contre le colonialisme. La toile ci-contre a été réalisée par l’artiste atikamekw Jacques Newashish lors de Mitshetuteuat II pour l’Alliance Mamo. Megwetch Monsieur Newashish !

Le territoire en péril est considéré sous ses diverses formes - forêts, rivières et lacs, sous-sol, terres cultivables, environnement rural ou urbain - incluant ses habitant·es : animales/animaux, humain·es et végétaux/végétales. Les communautés des Premiers Peuples sont des témoins privilégié·es de l’état des territoires soi-disant « non habités ». Souvent les premières victimes humaines de la destruction de ces écosystèmes auxquels leur identité traditionnelle est inextricablement liée, les Autochtones sont des allié·es essentiel·les de l'écologie sociale afin de se diriger vers une société écologique et conviviale.

Au sein du GRIP-UQAM, et lorsque possible en partenariat avec d'autres comités tels Anarchives et le PASC ou encore le Cercle des Premières Nations de l'UQAM (CPNUQAM), le comité SOS Territoire travaille sur l'aspect anticolonial de l'écologie sociale, notamment à travers le support matériel (nourriture, transport, audiovisuel) et organisationnel (traduction, partage des connaissances, mise en contact entre écologistes Autochtones et Allochtones) en collaboration avec les Autochtones écologistes, ainsi qu'en partageant et en diffusant les recherches et l'information anticoloniales et écologistes par des ateliers et des conférences.

À l'initiative de SOS Territoire, le GRIP-UQAM alloue une partie de son budget pour financer les initiatives autochtones à travers le Cercle Aiatshitau Mamu (Luttons Ensemble) qui s’engage à encourager les projets menés surtout par des autochtones pour la protection des terres sacrées de l’Île de la Tortue et des projets de décolonisation / justice sociale / libération juridique pour les Premiers Peuples. Le montant amassé sera distribué à différents projets par les membres (exclusivement autochtones) du Cercle.

SOS Territoire et le CPNUQAM ont des missions complémentaires et distinctes. Alors que le CPNUQAM soutien l'intégration et le cheminement des étudiant·es autochtones à la vie universitaire en milieu urbain, promouvoit et diffuse les cultures autochtones et les réalités que vivent les Premiers Peuples et établit des liens d'amitié et de coopération entre les Autochtones et les Allochtones, SOS Territoire éveille les étudiant·es de l'UQAM ainsi que la communauté uqamienne aux enjeux écologiques et anticoloniaux. Nous encourageons les alliances avec des autochtones, particulièrement autour des enjeux écologiques, et nous travaillons, sur demande des communautés autochtones, à fournir du soutien pratique et académique aux écologistes autochtones qui protègent leurs territoires ancestraux et aux Autochtones et Allochtones de la communauté uqamienne qui les appuient.

Afin de pouvoir travailler avec le CPNUQAM, SOS Territoire utilise leur méthode de fonctionnement par consensus. Notre plus grosse collaboration à ce jour avec le CPNUQAM sont les rencontres Mitshetuteuat I à la chaufferie de l'UQAM en avril 2014 et Mitshetuteuat II à Wemotaci en septembre 2015, d'où est née l'Alliance Mamo, projet que nous portons depuis cette rencontre.

SOS Territoire est membre des regroupements écologistes suivants : le Front commun pour une transition énergétique et le Réseau Québécois des Groupes Écologistes (RQGE). Nous travaillons fort pour y apporter une perspective anticoloniale.

Liens du comité SOS Territoire :

Liens pour Mitshetuteuat I :

Liens pour Mitshetuteuat II :



Stasis

Bannière de Stasis, en noir et blanc. Une photo d’un panorama de l’horizon à l’envers de sorte que le ciel plus pâle est en bas et la terre rocailleuse est en haut. En bas, dans le ciel, est écrit en noir “Groupe d’enquête sur le contemporain”.

Icône de Stasis de forme carrée. “Stasis” est écrit en avant-plan, en blanc d’un typographie de type calligraphie. L’arrière-plan est une photo d’horizon à l’envers, de sorte que le ciel pâle est en bas et la terre rocailleuse est en haut. Stasis : Groupe d’enquête sur le contemporain entend, par l’organisation de divers événements, approfondir ce qui forme l’étoffe des résistances politiques d’aujourd’hui. Un lieu commun où la confrontation entre différentes positions favorise l’élaboration d’une perception commune de la situation. Un espace de création et de réflexion qui vise à élucider ce que seraient une ou des révolutions à notre époque. La rédaction d’une revue permettra ultimement de récapituler les enjeux et les thématiques discutés tout au long de l’année.